Aidez les enfants du camp de réfugiés de Mae La Oon
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Enfants parrainés : 58 sur 80
« Bonjour chers auditeurs,
Aujourd’hui, vendredi 12 juin, le calendrier nous mobilise : c’est la journée internationale contre le travail des enfants. Qu’est-ce qu’on entend quand on parle du travail des enfants ? D’après l’Organisation Internationale du Travail, 150 millions d’enfants dans le monde travaillent, c’est-à-dire que 150 millions d’enfants exercent une activité économique qui les empêche d’aller à l’école, qui est illégale ou dangereuse pour leur santé ou d’un point de vue moral (recrutement dans l’armée, trafic de stupéfiants, prostitution, etc…). Ils seraient 4,3 millions d’enfants assujettis à du travail forcé.
Par l’intermédiaire d’Enfants du Mékong, j’ai pu rencontrer à plusieurs reprises des enfants qui travaillent. Le sujet est complexe. Ce n’est jamais un choix de facilité. Il faut comprendre que parfois, ces enfants sur les bancs de l’école culpabilisent, croient perdre leur temps parce qu’ils n’aident pas à nourrir la famille. Parfois certaines familles doivent faire des choix déchirants : je me souviens de Bun Tim, un jeune interne de notre centre de Preah Vear au Cambodge. Il racontait aux Bambous que lorsque son grand-père est tombé malade, il a voulu abandonner l’école pour s’occuper de lui. Son grand frère lui a défendu d’abandonner et a préféré arrêter sa scolarité à sa place. « En faisant cela, mon frère m’a sauvé. » disait-il. Lorsque l’argent à commencer à manquer, c’est sa sœur qui s’est sacrifiée à son tour pour lui permettre de continuer à aller à l’école. Rendez-vous compte de la douleur des choix de cette famille orpheline obligée de choisir parmi ses enfants qui doit arrêter et qui doit continuer à aller l’école. Qui aura un travail et un avenir meilleur que les autres… Rendez-vous compte aussi de la pression qui repose sur les épaules de ces enfants.
Le travail des enfants est un sujet complexe qu’on ne peut condamner ou solutionner d’un revers de main. Dans des pays comme le Cambodge, le Laos, les Philippines, la Thaïlande ou la Birmanie, il est parfois le seul recours des familles et des orphelins. Il existe cependant des solutions parfois simples pour améliorer la vie de ces enfants et leur permettre d’aller à l’école. Je le dis ici parce que j’en suis convaincu : le parrainage est l’une de ces solutions. Une petite somme d’argent chaque mois est une bouffée d’air et un répit pour ces familles et ces enfants. Plus tard, ils deviendront des travailleurs et des parents conscients des inégalités qui ont cours dans leur pays. Alors peut-être participeront-ils à changer les choses. Alors peut-être vivront nous dans un monde où de moins en moins d’enfants seront contraints de travailler. »
Antoine Besson
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