Réduire son Impôt sur la Fortune Immobilière et soutenir l’éducation
L’Impôt sur la Fortune Immobilière (IFI) peut être converti en don. Vous bénéficiez alors d’une déduction fiscale de 75% du montant de votre don.
Notre fondation œuvre pour l’éducation et la formation des jeunes les plus défavorisés par des investissements et une pédagogie innovante, afin de leur permettre d’accéder à une vie digne où ils peuvent exercer un métier, fonder une famille et participer au bien commun de leur pays. Notre fondation est sous égide de la Fondation Caritas, fondation reconnue d’utilité publique.
Les dons IFI sont très importants pour notre fondation pour l’éducation. Ils soutiennent les centres et foyers, qui permettent à 2661 jeunes d’étudier dans un cadre sain. Lorsque vous donnez votre IFI, vous pouvez bénéficier alors d’une déduction fiscale de 75% dans la limite maximale de 50 000€ (soit un don de 66 667€).
La calculatrice IFI
En donnant votre IFI, vous soutenez les centres du Cambodge, de Birmanie et des Philippines
Cambodge, mieux se connaître pour mieux servir
Enfants du Mékong a l’ambition aujourd’hui d’accompagner toujours mieux les filleuls, pour que l’apprentissage élémentaire à l’école porte du fruit et que chacun trouve sa place dans la société cambodgienne, en fonction de ses désirs, de ses aptitudes et des formations professionnalisantes existantes. Nos équipes travaillent d’arrache-pied pour aider les filleuls à mieux se connaître et à mieux connaître les propositions de formations qui émergent au Cambodge. Les alternatives de formations universitaires se développent, en province notamment, et les formations professionnelles se multiplient. Organisées en partie par le gouvernement, elles deviennent de plus en plus attrayantes et ouvrent à des perspectives de plus en plus riches et variées.
C’est une évidence pour tous : il ne suffit plus de « mettre les enfants sur les bancs des écoles », il faut les aider à trouver leur place dans la société, une place qui leur conviendra, qui les épanouira, pour grandir humainement, familialement, et pour être au service de manière efficiente de la société cambodgienne.
Ce défi exigeant nous appelle à un accompagnement toujours plus personnalisé, pour comprendre la richesse de chacun, et l’aider au mieux et au plus juste. Cela demande du temps, de l’énergie. Cela demande de sortir de nos « lieux d’actions », de nos « zones de confort », pour comprendre la réalité du Cambodge, s’y adapter, et ainsi ouvrir de nouveaux horizons plein d’espérance aux jeunes.
Louis-Marie Soubrier, adjoint au directeur Cambodge.
Yangon, l’espoir persiste malgré la guerre civile
Cette année encore le programme étudiant de Yangon a permis de financer la scolarité de 32 jeunes (17 filles et 15 garçons) malgré un contexte politique, économique et social très difficile. La guerre civile (entre l’armée birmane et la population civile ayant pris les armes) a éclaté dans différentes régions du pays entraînant désormais le déplacement de 1,4 millions de personnes n’ayant plus aucune ressource pour vivre.
Beaucoup de jeunes de plus de 16 ans, en âge de travailler, quittent le pays par différentes filières pour gagner leur vie, aider leur famille et pour se sentir en sécurité. Ce sont les jeunes qui sont les plus suspectés par les autorités militaires d’être des opposants. En deux ans, un million et demi de personnes ont quitté le pays.
Le programme étudiant de Yangon est une goutte d’eau face à cette hémorragie mais son existence donne espoir à ceux qui veulent continuer à se former et à travailler en Birmanie et montre qu’une alternative est possible. Il permet de former des jeunes qui, pour la plupart, trouvent un emploi en Birmanie. Les filières où il y a le plus d’opportunités sont toujours l’anglais et l’informatique mais également les aides-soignantes et infirmières, de nombreux postes s’étant libérés l’année dernière à la suite de la grève du personnel soignant. Il y a également de belles réussites individuelles, comme celle de Shine Bobo, étudiant en école d’hôtellerie et restauration, arrivé major de promotion et qui travaille désormais dans un hôtel international à Yangon.
Anne Monmoton, responsable Birmanie.
Philippines, des jeunes déterminés et investis
Depuis la rentrée dernière, l’école a repris en présentiel partout aux Philippines. Quelle joie de revoir des files d’enfants en uniforme, sur les chemins au milieu des rizières, se diriger vers les écoles ou rentrer chez eux ! Quelle joie de voir des enfants jouer après l’école ! Les sourires, les rires, les enfants avaient disparu pendant la pandémie, confinés chez eux, rivés à leurs écrans.
Heureusement les programmes d’EDM sont là et les Responsables de Programmes ont réussi à maintenir auprès des jeunes un lien, une appartenance à un groupe, un espoir. En comparaison de la moyenne nationale, très peu de filleuls Enfants du Mékong ont abandonné leur scolarité. Les grands aidant les petits, les petits donnant de l’espoir aux grands.
Et puis, en fin de pandémie, il y a eu le typhon. Le «Typhon Odette» qui a balayé le centre des Philippines. Certaines familles ont tout perdu. Certaines écoles dévastées ont repoussé l’échéance de leur ouverture post-covid. Mais rien n’a entamé ni le moral, ni la motivation des filleuls d’Enfants du Mékong aux Philippines à réussir leurs études. Dans les programmes, dans les Centres et foyers, le succès dans les études pour se sortir de la misère est toujours là. Chaque jeune veut réussir, chaque jeune va réussir.
Clément Waquet, directeur pays Philippines.
Le calendrier IFI 2023
Calendrier 2023 | |
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Date limite de déclaration de votre IFI et de versement de votre don | Déclaration papier :
Réception des déclarations papier (uniquement pour les contribuables qui ont déclaré papier en 2022) : à partir du 6 avril jusqu’à mi mai (selon service postal). La date limite est fixée au 18 mai à 23h59, y compris pour les résidents français à l’étranger. Déclaration Internet : Le service de déclaration en ligne sera ouvert à partir du 6 avril et jusqu’aux dates limites suivantes établies par département :
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Quelques exemples de projets financés grâce à votre IFI
Le centre de Battambang a besoin de financement pour la scolarisation de 68 jeunes.
En Birmanie, Enfants du Mékong accompagne l’éducation de 32 enfants à Yangon.
Grâce à la campagne IFI, 43 jeunes ont pu être scolarisés dans le centre de Butuan.
Des témoignages forts
Je ne pensais pas avoir la chance d’étudier un jour.
« Je ne pensais pas avoir la chance d’étudier un jour à cause des difficultés que connaît ma famille. C’est pourquoi je suis très reconnaissant pour la chance qu’EDM m’offre aujourd’hui ! En arrivant au Centre de Cebu, j’y ai découvert une nouvelle famille, toujours à l’écoute, et qui m’a soutenu dès mon arrivée. Je remercie plus particulièrement l’équipe EDM qui contribue à ce que je me sente en paix et en sécurité dans le centre. »
Franz, collégien au centre de Cebu.
Je tiens à remercier les donateurs grâce à qui j’ai trouvé le moyen de réaliser mon rêve.
« Un jour, j’ai entendu parler d’une ONG appelée «Enfants du Mékong». Ma grand-mère et moi les avons contactés et c’est ainsi que l’aventure a commencé. J’ai été parrainée par une famille en France quelques mois après. Au début c’était vraiment dur d’être loin de mes grands-parents, j’avais toujours vécu avec eux. Je pleurais presque toutes les nuits pendant les premières semaines, mais ma volonté d’étudier et d’avoir un avenir meilleur était plus forte. Aujourd’hui, je suis en terminale. L’année prochaine, j’aimerais étudier l’ingénierie électronique car ma matière préférée est la physique. J’ai toujours rêvé d’étudier pour avoir un bon travail et aider ma famille. Je tiens à remercier EDM et les donateurs grâce à qui j’ai trouvé une seconde famille et le moyen de réaliser mon rêve. »
Tchieng, en grade 12 au centre de Samrong.
Merci de m’avoir aidé !
« J’ai beaucoup appris et acquis de compétences grâce à EDM. Merci de m’avoir aidé ! J’ai fini ma formation en management de l’hôtellerie et des affaires, après une formation d’anglais et d’informatique. Je cherche maintenant du travail en lien avec ma formation. Mes parents sont très fiers de moi. »
David, jeune diplômé du centre de Yangon.
EDM me façonne et me prépare pour l’avenir.
« Je considère EDM comme une famille. Les filleuls se comportent les uns avec les autres comme des frères et sœurs, et les travailleurs sociaux et bambous sont considérés comme des parents de substiution. Nous sommes originaires de divers endroits et avons des coutumes, des traditions et des pratiques différentes, mais nous savons tous comment nous respecter les uns les autres. Nous avons parfois des malentendus et des problèmes, comme toute famille. Pour y remédier, nous organisons des forums ouverts et des séances de partage. Vous répondez à nos besoins quotidiens et nous envoyez à l’école, ce qui n’est pas le cas de tout le monde, je le sais. EDM me façonne et me prépare pour l’avenir. C’est un tremplin vers un avenir radieux. »
Marvillon, étudiant en 3e année au centre de Tuguegarao.