Soutenir le patronage de Muang Xone, dans les montagnes du Laos
Enfants parrainés : 2 sur 26
Très rural et montagneux, le pays « au million d’éléphants » souffre d’un manque d’infrastructures et de moyens pour développer son système éducatif.
Le fort absentéisme des professeurs ainsi que la médiocrité des contenus dans les régions rurales pénalisent le développement scolaire au Laos. Beaucoup d’enfants arrêtent leur scolarité à la fin du primaire, principalement à cause de la pauvreté des familles et de l’éloignement des établissements secondaires.
Enfants du Mékong favorise aussi l’accès à l’éducation par la construction ou la rénovation d’écoles primaires dans les villages, ainsi que de foyers d’accueil pour les collégiens et lycéens.
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Enfants parrainés : 2 sur 26
Les jeunes du foyer des sœurs Amantes de la Croix vivent à Ventiane, la capitale du Laos, et sont issus de familles travaillant dans les champs. Grâce au parrainage, ils peuvent poursuivre leur scolarité au lycée ou des études supérieures, s’assurant un avenir meilleur à l’abri de la pauvreté.
Enfants parrainés : 23 sur 25
Au Laos, l’accès à l’enseignement supérieur est encore réservé à une élite. Pour les familles des provinces reculées, envoyer un enfant étudier est un […]
Enfants parrainés : 52 sur 53
4 183 € sur un objectif de 7 059 €
« Se construire soi-même à tout âge. » En parallèle de leurs cours, les étudiants Enfants du Mékong réfléchissent et approfondissant leurs questions personnelles sur l’amitié, […]
Partout l’écotourisme se développe et l’Asie du Sud-Est ne fait pas exception. Adepte de ces nouvelles manières de découvrir un pays, Théophile nous emmène […]
Quand un enfant naît sourd dans une famille laotienne pauvre, il est souvent caché, isolé ou envoyé travailler dans les champs. À Luang Prabang […]
Pour Roxane et Camille, parrainer c’est « donner du bonheur à un enfant qui a moins de chance que nous ». Découvrez le témoignage […]
L’action d’Enfants du Mékong a débuté à Vientiane dans la capitale du Laos sous l’impulsion de son fondateur : René Péchard.
L’association est contrainte de quitter le pays lors de la prise du pouvoir par les communistes, le 2 décembre. Elle continue alors d’aider les populations laotiennes dans les camps de réfugiés.
Enfants du Mékong reprend son action dans le pays.