Plongez dans la mission de Julie en Birmanie – Sac au dos

Julie est partie deux ans en Birmanie comme Volontaire Bambou. Au milieu de la deuxième année de sa mission, après quelques mois d’immersion, découvrez son témoignage émouvant sur la webradio EDM

J’écoute le podcast SAC AU DOS    Je soutiens la mission de Julie

 

 

SAC AU DOS, l'émission qui vous immerge dans la vie d'un bambou

SAC AU DOS reçoit aujourd’hui Julie qui donne une année de sa vie pour les enfants de Birmanie

 

Parrainez un enfant en Birmanie, une action concrète et durable

Je Parraine 

Le parrainage est un soutien dans la durée qui permet à votre filleul d’étudier sereinement. Grâce à vous, il prend chaque matin le chemin de l’école et ne travaille plus dans la rizière ou sur la décharge. Le parrainage permet aussi d’améliorer concrètement sa vie et celle de sa famille. Un enfant parrainé est scolarisé, nourri et habillé.

 

Soutenez la mission de Julie

Je soutiens 

Afin de mener à bien cette mission, Enfants du Mékong recherche les fonds nécessaires pour financer le projet de Julie P. Le montant total du budget s’élève à 9 000 €.
75% de votre don est déductible de l’impôt sur le revenu, pour les personnes imposables en France !
Merci de votre aide et de votre soutien !

Les programmes de parrainage en Birmanie

Ce que Julie nous avait confié avant son départ en mission...

Pourquoi je pars en volontariat :

Pourquoi je désire rester un an de plus surtout ! Cela fait 10 mois que je suis ici.  Dix mois que je sillonne la zone du nord-est de la Birmanie à la rencontre des populations qui lutte pour éduquer leurs enfants. Alors au début, certes, c’était un peu la panade. « Oui, alors je dois envoyer tel rapport, j’ai telle lettre à traduire, tel jeune à rencontrer parce qu’on ne sait pas où il en est, telle sœur à aller voir parce qu’il faut rester en contact avec elle, « euh, lui sa tête me dit quelque chose, je suis sensée le connaitre ? Ah oui, zut ! », telle lettre à écrire au parrain en A/O, telle LIP, telle JUMP, etc. En fait, c’est un vrai job que propose Enfants Du Mékong à ses volontaires ! Et elle est LA, la première raison de mon désir de rester un an de plus. Je souhaiterais rester pour continuer le travail que j’ai entamé et m’améliorer dans ma mission. Je commence à peine à trouver mon équilibre. Je ne veux pas partir en ayant le goût amer du travail inachevé. Un an finalement, c’est tellement court ! Si je refais une deuxième année, ce n’est pas pour aller à la découverte d’un autre pays ou d’autres peuples, non. Cela signifierait un retour à zéro pour moi, et ce n’est pas ce que je souhaite. Je reste une année de plus dans la même zone pour donner le meilleur de moi-même auprès de ceux avec qui j’ai commencé à nouer de vrais liens de confiance. Après avoir pris mes marques pendant un an (je suis un diesel, ça m’a pris du temps…), j’aimerais rester pour être plus efficace dans mon travail et plus disponible pour les autres.

Pourquoi je pars avec « Enfants du Mékong » :

J’ai choisi EDM car c’est une association qui agit pour l’Asie Du Sud Est depuis 60 ans et qui envoie des volontaires sur le terrain depuis 30 ans. Plutôt une valeur sûre donc ! C’est une association qui fait un travail sérieux, et qui agit main dans la main avec les communautés locales. D’ailleurs EDM répond à un appel qui émane du terrain. Nous venons en aide là où nous sommes appelés. Cela permet de mener des actions efficaces et pertinentes. J’ai choisi Enfants du Mékong parce que ses actions sont portées par des valeurs de respect de la personne humaine que je partage et qui sont moteurs de mon engagement. 

Ma mission :

Je suis coordinatrice de programme de parrainage et de projet dans le Nord-Ouest de la Birmanie, dans l’état Chin et la région de Sagaing. Mon rôle en tant que bambou est d’aller régulièrement visiter les programmes EDM pour m’assurer de leur bonne gestion, de suivre l’évolution des enfants, de valider la comptabilité avec le responsable local, apporter et récupérer les lettres pour les parrains. Ces visites sont aussi l’occasion de partager des moments et des jeux avec les enfants, d’organiser des camps d’été, des ateliers d’animation orientés vers l’éducation ou encore des entretiens pour les plus âgés pour les guider dans leur orientation.