SAC AU DOS reçoit aujourd’hui Camille qui donne une année de sa vie pour les enfants de Birmanie
Le parrainage est un soutien dans la durée qui permet à votre filleul d’étudier sereinement. Grâce à vous, il prend chaque matin le chemin de l’école et ne travaille plus dans la rizière ou sur la décharge. Le parrainage permet aussi d’améliorer concrètement sa vie et celle de sa famille. Un enfant parrainé est scolarisé, nourri et habillé.
Afin de mener à bien cette mission, Enfants du Mékong recherche les fonds nécessaires pour financer le projet de Camille. Le montant total du budget s’élève à 9 000 €.
75% de votre don est déductible de l’impôt sur le revenu, pour les personnes imposables en France !
Merci de votre aide et de votre soutien !
L’objectif de ce programme est de lutter contre la déscolarisation des jeunes filles des Chin Hills et des alentours de Kalay, région reculée au nord-ouest de la Birmanie. Les écoles étant fermées dans leurs villages, le parrainage leur permet d’intégrer le foyer St Joseph, où elles peuvent poursuivre leur scolarité !
Kyaukme est un petit village en milieu rural du Nord de l’État Shan en Birmanie. Un foyer y vient en aide aux familles n’ayant pas les moyens financiers d’assurer la scolarité de jeunes entre 8 et 17 ans.
Difficile d’imaginer endroit plus reculé que le village d’Ura Kahtawng. Dans cet endroit perdu au bout du monde, notre association agit pour aider les […]
Aidez un enfant de cette région isolée de Birmanie.
Difficile d’imaginer un accès plus difficile que celui mène aux écoles du réseau d’Eh Twa. On ne compte plus les heures de route cahoteuse, […]
Dans l’état Kachin, région très reculée de l’extrême-nord Birman, des enfants se battent. Ils se battent pour aller à l’école. Etudier à tout prix, […]
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Les foyers de la région de Putao accueillent des jeunes filles et garçons de toute la région Kachin, au nord de la Birmanie. Il […]
Au nord de la Birmanie, l’état Kachin est une zone déchirée. Entre les conflits armés et le trafic de drogue, il faut beaucoup de […]
Ma motivation de partir en mission peut être expliquée par une des phrases connues de Gandhi : « Soyez le changement que vous voulez dans le monde ». Je pense que nous avons tous un rôle à jouer pour que le monde ressemble à l’image que nous nous en faisons. C’est pourquoi, je donne cette année en fin d’étude : en contribuant à un avenir plus juste pour ces enfants, je serai actrice d’un monde en devenir. Je pars pour mettre toutes mes compétences et tout ce qui me caractérise au service des nécessiteux et surtout pour aimer et se laisser aimer.
Beaucoup de personnes m’ont demandé pourquoi je ne faisais pas cette année en Europe. Je leur répondrais que cette année signifie également pour moi de sortir de ma zone de confort en me jetant à cœur ouvert dans une culture qui m’est complètement inconnue.
J’ai choisi Enfant du Mékong car elle construit ses missions en fonction des besoins des locaux et qu’elle adapte constamment en fonction de la réalité du terrain. Pour partir en mission si loin de chez soi et si longtemps, il faut également partir avec une association dans laquelle on se sent accompagnés. En assurant la sécurité des volontaires, la préparation des Bambous avant leur départ et avec sa structure familiale, Enfant du Mékong m’a mise en confiance.
Durant cette année, je serai coordinatrice de parrainage et chef de projet pour les régions birmanes Kayah et Shan Sud. Ma mission principale sera de m’assurer que l’argent récolté avec le parrainage est bien transmis aux enfants pour leur éducation, qu’ils ne manquent de rien et qu’ils aient accès à tous les outils pour réussir leur scolarité. Je suivrai ces jeunes dans leur scolarité notamment en organisant des forums des métiers qui pourront les orienter au mieux vers leur future formation ou en organisant des activités éducatives.
Etant sur le terrain j’endosserai également le rôle des « yeux et des oreilles » du siège et ferai remonter les problèmes rencontrés. Je prendrai également en charge les projets créés pour répondre à ces problèmes.
