Le gouvernement a réagi de manière forte avant la fin mars, fermant les frontières hermétiquement et limitant les déplacements dans le pays au maximum. Il n’y a jamais eu de confinement complet, mais des recommandations au télétravail et au port du masque, et l’instauration d’un couvre-feu pour limiter les fêtes et évènements.
Au-delà de la pandémie, le confinement a lourdement fragilisé la situation des plus pauvres. Le confinement a entraîné un chômage massif sans compensation pour les familles de journaliers, n’ayant ainsi plus de quoi se nourrir, payer eau et électricité.
La gestion des écoles a été relativement simple puisque la crise est arrivée au moment des grandes vacances locales, de mi-mars à mi-mai. Le Ministère de l’éducation a eu le temps de préparer la rentrée qui s’est faite en trois temps. A distance de mi-mai à début juillet, avec des cours à la télévision ou par internet ; alternée par demi groupe de début juillet à mi-août ; puis normalement à partir du 17 août.