Parrainage complet
Voir tous les parrainagesLe petit village de Ban Dong, dans les montagnes, est habité à 100% par des Lawas, une ethnie minoritaire de Thaïlande. Nous cherchons des parrainages pour 11 enfants lawas de l’école de Ban Dong !
Les Lawas ont leur propre langue, culture, et leurs propres tenues ethniques. L’économie des villages Lawas est principalement basée sur l’autarcie et l’entraide ! Les familles travaillent dans les champs, dans les rizières et élèvent des animaux pour se nourrir. Beaucoup d’entre elles n’ont pas de terres et travaillent pour les autres, ce qui rend leur situation financière très instable. Les familles Lawas habitent dans des maisons sur pilotis, construites en bois, en bambou et en tuiles. Chaque famille construit sa propre maison avec l’aide des autres villageois.
Dans la culture Lawa, la maison est signe de stabilité alors les familles vont parfois jusqu’à s’endetter afin de pouvoir avoir une maison construite en dur.
Kru Baycha est notre responsable locale pour les filleuls de Ban Dong. Elle est professeur de sciences à l’école de Ban Dong et adore son métier qu’elle exerce avec cœur et passion. Etant elle-même d’ethnie Lawa, elle connaît bien les enjeux et difficultés des familles des filleuls. Elle est très attentionnée envers les filleuls et prend soin de les accompagner de son mieux !
Les 11 enfants aidés sont tous issus de familles pauvres. La plupart vivent avec leurs grands-parents car leurs parents se sont mariés jeunes, ont divorcé, ou les ont abandonné aux grands-parents espérant avoir une meilleure vie et un meilleur métier.
Par ailleurs, nombreux sont les grands-parents qui ont arrêté l’école en CP. Certains d’entre eux ne parlent que le dialecte Lawa. Les écoles étaient, en effet, beaucoup trop éloignées des villages et il n’y n’avait à cette époque, aucune structure pour accueillir les enfants.
Grâce au parrainage, les filleuls de Ban Dong vont pouvoir apprendre la langue thaïe, qu’ils n’apprennent et ne parlent souvent pas à la maison, et avoir accès à d’autres métiers qu’à celui d’agriculteur.
Woranan est une filleule du programme de Ban Dong. Elle vit avec ses parents, sa grand mère et son grand frère dans une maison en bois qui est très vieille.
Ses parents sont tous les deux agriculteurs. Ils font pousser du riz, qu’ils gardent pour eux et du chou qu’ils vendent. Cela leur permet de gagner quelques sous une fois par an lorsqu’ils vendent leur récolte. Ils possèdent une moto et n’ont pas d’animaux.
Pèn a un joli sourire ! Elle ne sait pas encore le métier qu’elle veut faire plus tard, mais ce n’est pas grave, elle a encore le temps de décider ! C’est une élève très sérieuse et studieuse. Sa matière préférée est les sciences. Pendant son temps libre, elle aime beaucoup cuisiner !
Permettre aux enfants lawas du village d’accéder à l’éducation, les mener vers un meilleur avenir par la formation à un métier pour qu’ils puissent à leur tour aider leurs familles : telle est notre ambition de nos programmes à long terme.
Votre parrainage finance les frais de scolarité, les fournitures scolaires et les cours supplémentaires de votre filleul. Le surplus d’argent est utilisé par le foyer pour offrir un environnement d’apprentissage optimal au filleul et à ses frères et sœurs : achat de nourriture, travaux dans la maison, paiement des frais de maladie…
En rejoignant la grande famille
d’Enfants du Mékong :
Ce programme de parrainage a été ouvert pour des enfants réfugiés cambodgiens, laotiens et birmans, dont les familles se sont établies à Lat Lum Kaeo, près de Bangkok. L’action d’Enfants du Mékong vise à aider les plus pauvres à accéder à l’éducation, pour que l’école leur ouvre les portes d’un avenir meilleur !
A Wangsaphung, dans l’Issan (nord-est de la Thaïlande), nous accompagnons les jeunes les plus démunis sur le chemin de l’école !
À 48 km de Maesot, les Xaveriens ont constaté le manque d’opportunités éducatives pour les enfants les plus démunis du village.
À Ranong, les parents des familles aidées sont travailleurs journaliers dans la pêche ou sur les chantiers de construction, et n’ont pas de quoi offrir un bel avenir à leurs enfants.
