« Phuket. Fin Novembre 2018. Pour la seconde fois, j’ai le bonheur de rencontrer ma chère filleule Kitsana. Je découvre une très belle jeune fille de bientôt 18 ans. Elle est bien loin de la petite fille de 11 ans avec qui je corresponds depuis 7 ans !
Nous avons passé une journée magnifique avec l’aide de Soeur Lakana et d’Anne-Flore, volontaire bambou sur place, pour une année. Nos pas nous ont menés au restaurant puis dans un grand magasin où ma filleule a pu trouver un sac à dos pour ses manuels scolaires puis chez elle pour saluer sa famille.
De très beaux moments de partage et d’amitié avec un souvenir particulièrement touchant : une main qui se glissait dans la mienne !
C’était ma filleule, qui bien qu’intimidée et réservée, me faisait passer un « message du cœur’. Ce fut magnifique…
Kitsana souhaite poursuivre des études supérieures durant 4 années. J’admire sa volonté et son travail et bien sûr je répondrai présente pour ce futur.
Je tiens à remercier soeur Lakana et Anne-Flore. Et bravo à Enfants du Mékong pour tout ce qui est fait pour ces enfants d’Asie.
Le profil hors norme de Mary nous rappelle que « les enfants pauvres et souffrants peuvent être des modèles de responsabilité de leur pays ». Nous espérons que son succès, porté par une énergie débordante et une grande confiance en l’avenir, pourra être un modèle pour les jeunes générations birmanes… et celles d’ailleurs !
Au cœur des grandes mutations politiques du Laos, madame Bounmy n’a jamais su rester spectatrice. Impliquée à son échelle, elle a partagé le sort des Hmongs et des réfugiés du Laos en Thaïlande. Dévouée à sa famille, elle n’a pas non plus hésité à venir en aide à ceux qui partageaient sa misère.
À l’occasion de la saison Asie au Palais de la Porte Dorée, le Musée national de l’histoire de l’immigration propose une exposition inédite jusqu’au 18 février 2024, consacrée à l’histoire et à la diversité des migrations asiatiques. Entretien avec Simeng Wang.
Sur l’archipel des Philippines, chaque année des milliers d’enfants sont victimes de violences sexuelles au sein de leur propre famille. Un phénomène social, mais aussi culturel caché sous une chape de silence et de honte.
Cantonnée dans l’enceinte du palais royal, la danse classique cambodgienne fut, des siècles durant, un art sacré et secret, réservé au roi et à sa cour. En 1906, un voyage historique en France révèle ce spectacle millénaire au grand public.
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