Des sourires au milieu des poubelles
Si le Cambodge et la région de Battambang se développent, certaines familles vivent encore dans des conditions misérables.
SAC AU DOS reçoit aujourd’hui Lucie qui donne une année de sa vie pour les enfants du Cambodge.
Le parrainage est un soutien dans la durée qui permet à votre filleul d’étudier sereinement. Grâce à vous, il prend chaque matin le chemin de l’école et ne travaille plus dans la rizière ou sur la décharge. Le parrainage permet aussi d’améliorer concrètement sa vie et celle de sa famille. Un enfant parrainé est scolarisé, nourri et habillé.
Afin de mener à bien cette mission, Enfants du Mékong recherche les fonds nécessaires pour financer le projet de Lucie T. Le montant total du budget s’élève à 9 000 €.
75% de votre don est déductible de l’impôt sur le revenu, pour les personnes imposables en France !
Merci de votre aide et de votre soutien !
Si le Cambodge et la région de Battambang se développent, certaines familles vivent encore dans des conditions misérables.
Il y a une multitude de raisons qui font que je désire partir en volontariat mais la plus importante à mes yeux est que j’ai envie de me mettre au service des plus pauvres. Cela fait très longtemps que j’ai envie que le travail que je fournis soit utile et bon, qu’il puisse permettre d’améliorer les conditions de vie de ceux qui souffrent. Même si mon action ne sera peut-être qu’une petite goutte d’eau, si je peux faire quelque chose pour aider mon prochain, je veux le faire.
Cette année au Cambodge me permettra aussi de m’efforcer sincèrement de comprendre des réalités et des vies totalement différentes des miennes (ce qui est à mon avis le meilleur moyen pour vivre en paix). Pendant le mois que j’ai passé au Pérou l’année dernière, je me suis rendue compte à quel point cela est difficile et en même temps tellement enrichissant de comprendre quelqu’un dont le monde n’a rien à voir avec le mien.
Enfin, je finis mes études à la fin de l’été et j’aimerais travailler dans le secteur de l’humanitaire mais, avant d’y trouver un emploi, je suis heureuse de donner un an pour découvrir ce que peut être le travail humanitaire et approfondir mon projet professionnel.
Je choisis de partir avec Enfants du Mékong car les valeurs qui y sont défendues et la manière dont elles sont appliquées sur le terrain me conviennent parfaitement. Avec Enfants du Mékong, le parrainage des enfants et des jeunes ne leur permet pas seulement d’aller à l’école mais aussi d’être accompagnés sur le plan du développement personnel, le but étant aussi de les aider à grandir en tant qu’homme et en tant que femme. Cette attention complète portée aux jeunes et aux enfants, je la ressens aussi dans l’accompagnement que je reçois en tant que future bambou.
Par ailleurs, les projets menés par Enfants du Mékong sont décidés à partir des besoins et des demandes locales, l’association n’étant alors qu’un moyen rendant possible des actions et les volontaires que les relais de ces besoins. Cette manière de fonctionner est sûrement le meilleur moyen d’apporter une réponses ajustée et efficace tout en nous remettant à notre juste et humble place.
Enfin, ce que j’apprécie chez Enfants du Mékong c’est la volonté de faire passer la personne en face de moi, ma relation avec elle avant une efficacité dans le travail qui pourrait casser cette relation car le rythme imposé serait alors trop rapide.
Je pars à Phnom Penh au Cambodge, dans le centre Christophe Mérieux qui accueille des étudiants parrainés grâce à Enfants du Mékong. J’y serai en charge de la formation humaine, c’est-à-dire que je m’occuperai d’organiser et parfois d’animer les activités extra-scolaires proposées aux étudiants, que ce soient des sorties culturelles ou des cours pour s’ouvrir au monde. Je vivrai également avec les filles en première année d’études dont je serai responsable du foyer. Mon rôle sera de partager leur vie quotidienne pour mieux les accompagner.