Dans la province de Banteay Meanchey, des enfants sont scolarisés au Centre d’O’Sgnout, composé d’une école élémentaire et d’un collège. Pour leur donner une chance de réussir, ce Centre scolaire accueille aussi des enfants en bas âge, de niveau de la Maternelle. Malheureusement, il n’y a pas suffisamment de place pour les accueillir. Sans locaux spécifiques pour ces élèves, leurs activités sont organisées dans une salle de l’école élémentaire. La situation n’est pas pérenne. D’une part l’école élémentaire est privée d’une salle nécessaire pour accueillir des élèves, d’autre part le nombre d’enfants accueillis en maternelle se trouve limité. Ils manquent de matériel adapté pour s’épanouir et n’ont pas suffisamment de sanitaires. Pour répondre à ce besoin, l’encadrement de l’école a fait une demande auprès d’Enfants du Mékong pour la construction d’une nouvelle école Maternelle composée de 4 classes. Celle-ci fait 28 mètres de long et 9 mètres de large. Elle peut accueillir jusqu’à 80 élèves.
BÉNÉFICIAIRES : 80 ENFANTS ET LEUR FAMILLE
COÛT DU PROJET : 77 714 €
Il y a cinquante ans, le 17 avril 1975, les Khmers rouges triomphants entraient dans Phnom Penh. Commençait alors pour le Cambodge, quatre années d’une dictature et d’une idéologie meurtrière dont l’ambition avouée aura été de façonner une nouvelle société cambodgienne en annihilant tout le reste.
Justine Guilbaud, l’une de nos bambous situé à Phnom Penh, a écrit cet article après la visite des bureaux d’Archetype Cambodia par Enfants du Mékong. Justine, animée par son enthousiasme et sa détermination à soutenir la mission de l’association, souhaite offrir aux étudiants des perspectives de carrière attractives.
Le riz est bien plus qu’un simple aliment au Cambodge : il est au cœur de la vie quotidienne, des traditions, de l’économie et du langage. Il constitue l’élément central de chaque repas et occupe une place essentielle dans la culture et l’identité khmères.
Connu des férus d’histoire mais souvent ignoré du grand public, un Montbéliardais né au début du XIXe siècle est à l’origine d’une des plus grandes sources de fascination de l’Asie du Sud-Est. S’il n’a pas à proprement dit «découvert» les temples d’Angkor, Henri MOUHOT, enfant du siècle des grandes explorations, restera cependant à jamais l’homme qui les révéla à l’Occident. Portrait d’un idéaliste que ses rêves ont béni d’une gloire posthume.
Depuis quelques mois, Claire et Bertrand SERVANTIE ont troqué les rizières cambodgiennes et les rues grouillantes de Phnom Penh contre le calme d’un petit village rural de la Côte-d’Or. De retour de 3 ans de mission de volontariat Bambou en Asie, la famille dresse le bilan de cette aventure hors du commun au cœur de la misère urbaine de la capitale du Cambodge. Un dépaysement qu’ils ont voulu vivre comme une aventure et qui résonne aujourd’hui comme une incroyable leçon de vie.
