Former nos équipes locales au Vietnam sur le « travail social »
Aimer avant d’aider : voilà la ligne directrice de notre formation, chez Enfants du Mékong, de nos équipe locales.
« En tant que Vietnamienne, je suis reconnaissante envers les parrains et l’association. Grâce à cette œuvre, les enfants vietnamiens bénéficient d’un soutien plus spécifique, qui les aide à aller à l’école et à devenir plus tard de bons citoyens. La mission d’une religieuse est de faire du mieux possible de bonnes actions, de bonnes choses pour tout le monde, en particulier pour les pauvres et les misérables de la société. »
Le travail pastoral d’une Soeur est de visiter les pauvres chaque semaine, je passe de nombreuses heures à parler avec eux. Je viens simplement me présenter. Puis je m’informe sur leur famille, leur situation d’économie…
La conversation est également simple et facile, car ils sont pauvres et simples. Je sens qu’ils veulent vraiment qu’on leur rende visite.
Il y a des familles pour lesquelles je ressens beaucoup de peine et que je veux vraiment aider, comme la famille de Thi Mai Linh.
Je suis heureuse d’être en charge de ce programme. Cela m’aide à aimer davantage les pauvres.
J’aime le travail de l’association. Je pense que le travail des parrains et des français est si bon que très peu de Vietnamiens peuvent faire un travail aussi bon et durable. Je suis très fière de partager le travail de l’association, même si je ne fais rien de grand, juste apporter un petit effort à l’association, c’est mon plaisir.
J’ai toujours pensé à la façon dont je pourrais aider les enfants pauvres. Conduire beaucoup d’enfants pauvres vers l’association fait mon bonheur.
Je trouve que le système actuel de parrainage des enfants est très utile. Les enfants sont aidés et le système de soutien porte également ses fruits, c’est-à-dire que les enfants savent comment surmonter les difficultés et réussir dans la société.
Chacun de nous est utile dans un but. Les filleuls nous aident à remplir le but et les parrains et marraines sont importants pour les filleuls.
Les filleuls permettent aux parrains de partager leur amour avec les enfants malheureux. Les parrains deviennent l’instrument de la miséricorde de Dieu, les ailes des rêves des enfants qui rêvent d’aller à l’école.
Par ailleurs, le parrainage est également très important. Sans parrains, les enfants pourraient-ils réaliser leurs rêves ? Existerait-il une voie durable vers l’éducation ? La vie pourrait-elle être changée ? Je pense que les deux sont très importants. Les parrains seront les ponts, les mains qui permettront de sauver les enfants pauvres du monde.
Aimer avant d’aider : voilà la ligne directrice de notre formation, chez Enfants du Mékong, de nos équipe locales.
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