Un soutien pour l’école de Pho Cap au Vietnam
Ce programme est situé près d’Ho-Chi-Minh ville. Il touche une école dite « d’affection ». Fondée en 2001, c’est une structure scolaire destinée aux personnes les plus pauvres et n’ayant pas les moyens d’assumer une scolarisation en milieu ordinaire. Le financement de ces écoles est privé. Cette école accueille environ 130 enfants, dont 7 enfants qui sont parrainés en parrainage individuel. L’école est également soutenue grâce à des parrainages collectifs, qui viennent financer la prise en charge des 92 demi-pensionnaires.
Pendant le covid, les responsables de ce programme ont aidé de nombreuses familles, allant chaque jour faire des distributions de produits d’alimentation de base : nouilles instantanées, riz.
Les responsables de programme ont aussi cousu des masques avec des parents : environ 4 000 000 masques ont été cousus et donnés aux familles. Ils sont allés chercher de l’aide auprès d’une entreprise locale, à qui ils ont demandé du gel pour le lavage des mains. Les responsables de ce programme n’ont pas eu peur de sortir, ou d’être contaminés par le virus, et sont allés aider de nombreuses familles très pauvres.
Avec le projet Covid nutrition, plus de 64 familles ont été aidées (achat de riz etc) !
Les professeurs ont par ailleurs accepté d’être payés 40% de moins que d’habitude pour permettre aux enfants d’acheter de la nourriture. Une vraie entraide a eu lieu et continue !
Portrait d'un filleul Enfants du Mékong de ce programme
Tuan est un jeune garçon âgé de 11 ans. Ses parents sont malheureusement décédés du sida. Les responsables du programme ont emmené Tuan faire un diagnostic mais heureusement, ce jeune garçon n’est pas atteint du sida. Tuan vit avec sa grand-mère et son grand-père. Ce dernier est paralysé suite à un accident. La grand-mère a donc la charge de son mari et de Tuan qui a un handicap mental et qui est accueilli tous les jours à l’école. Elle travaille sur des chantiers de construction pour gagner sa vie et nourrir son petit-fils ainsi que soigner son mari. Ces derniers temps, le grand-père a pu guérir et recommence petit à petit à travailler. Le parrainage les aide à envoyer le petit garçon à l’école.
