Suite à ma rencontre avec les délégués de notre département, j’ai parrainé un garçon en Thailande concrétisant ainsi un rêve. J’ai commencé par aider un peu plus l’association lors d’une opération « Paquets cadeaux » dans un centre commercial Rennais.
J’ai tout de suite eu envie d’aller plus loin.
Parce que je voulais aider un enfant dans son éducation scolaire. Et hop… quel bonheur d’avoir franchit le pas !
Je voulais une relation individuelle avec un enfant et sa famille, qui apporte un échange (pour l’enfant et nous même) social, culturel et affectif… un enrichissement inestimable !
Je suivais de très près plusieurs associations, dont Enfants du Mékong, depuis 4 ans sur les réseaux sociaux.
J’ai choisi EdM qui a cette priorité avant tout : offir à un enfant et valoriser sa scolarité, sa famille, sa vie éducative et sociale. Sécuriser son avenir en lui apportant une aide financière perraine.
La transparence financière de l’asso et sa proximité sur le terrain tout au long de l’année grâce aux volontaires Bambous ont fini de me convaincre.
La facilité de communication, l’entraide, l’amour commun et l’envie d’aider Enfants du Mékong sont tellement une évidence, que je me suis dit « Un dimanche après-midi, nos amis et familles vont sortir de leurs pyjamas et quitter leurs écrans, le temps d’un vin chaud autour de l’humanitaire. » A ma grande surprise, ils étaient tout ouie. Ils s’échangaient avec impatience le dossier et guide du parrainage.
Je rêvais dans un futur proche, de partir rencontrer ce garçon, rapporter en image, un bout de leurs vies autour du Mékong, en Thailande, au Cambodge… et le rêve s’est réalisé !!! 10 jours Cambodge, 10 jours Thailande, et je n’ai qu’une envie… y retourner !
En quelques mots, cette rencontre génialissime, avec Adee en Thaïlande :
Tout c’est parfaitement déroulée grâce aux Sister Anna et notre bambou internationale, Camille !! Quelle chance de les avoir sur le terrain. Ca m’a impressionné à quel point elles connaissent les familles, leurs parcours et principalement leurs besoins.
La rencontre avec Adee et sa famille, fut super chouette ! Mais pas évident pour eux (et nous du coup) par la différence culturelle, éducative et émotionnelle (les Lahu sont peu expressifs, nous le savons). Dans un 1er temps, beaucoup de retenu, surtout face à nos petits cadeaux venus de France.
Et là, on se dit, comment ne pas être intrusifs dans leur intimité, comment leur montrer qu’on est si heureux de les aider à des milliers de kilomètres, et pour remerciement ce temps concacrer, juste le temps d’une visite pour leur dire à notre tour « merci pour cet enrichissement, ces échanges de courrier rédigés grâce à l’aide des sœurs ainées de Adee. Comment leur montrer que nous attendons de la part, ce moment inoubliable et si précieux!
Quelle chance inouïe nous avons eu, de voir un instant de leur quotidien, malgré des conditions difficiles avec nos visions d’européens… poufff !
Et si vous voulez en savoir plus… donnons-nous rendez-vous chez vous, chez moi ou rendez-vous lors d’un prochain événement dans mon jardin ! Les dates et lieux peuvent vous êtes communiquer par mail, texto, sur ma page Facebook… Et si vous connaissez plusieurs personnes intéressées, contactez moi et ce sera l’occasion de se créer une rencontre (un apéro/photos donatoire, un barbecue donatoire, un pique-nique donatoire…).
Merci pour cette expérience si riche grâce à Enfants du Mékong, son implication inconditionnelle. Un immense merci à toutes les personnes locales qui s’impliquent au quotidien.
Votre parrainage va permettre d’améliorer concrètement le quotidien de votre filleul : en plus de trouver le chemin de l’école, il sera nourri, habillé et parfois soigné. Au-delà de ce soutien financier, c’est aussi un lien affectif qui se tisse avec votre filleul au fil des années. Il vous écrit deux ou trois lettres par an qui vont vous permettre de découvrir son quotidien et suivre sa scolarité.
Parmi les enfants abandonnés dans les rues de Manille, certains ont un handicap mental qui les rend encore plus vulnérables. La majorité d’entre eux est tout simplement parquée dans des prisons pour enfants sans aucune structure de suivi qui leur soit adaptée.
