Enfants parrainés : 11 sur 16
Le programme Beato Thomas soutient les jeunes filles de Bogo, situées sur l’île de Cebu, provenant de familles défavorisées et fréquemment exposées à la violence ou aux abus. Ces jeunes filles qui ont dû abandonner l’école trouvent un refuge au centre Beato Thomas, un lieu où elles peuvent poursuivre leur éducation dans un environnement sûr. Sous la conduite de Sœur Flor, ce programme leur fournit une éducation de haut niveau et un accompagnement pour les soutenir dans leur reconstruction et leur permettre d’aspirer à un avenir prometteur.
La maison Beato Thomas Hope House se trouve à Bogo, sur l’île de Cebu, dans la région Visayas centrales, à peu près cinq heures de route de la ville de Cebu. Lancé en 2010, ce programme a pour objectif de donner l’opportunité à des jeunes filles provenant de familles très démunies d’accéder à une éducation de haut niveau.
Enfants du Mékong s’engage à soutenir ces jeunes tout au long de leurs études, depuis le Grade 7 (équivalent de la 5e en France) jusqu’à la fin de leur cursus universitaire. Le soutien financier est accompagné d’un accompagnement dans leur développement personnel, pour les aider à grandir et devenir des adultes dotés de fortes valeurs morales.
Beato Thomas est un programme qui accompagne les jeunes filles provenant de familles extrêmement pauvres, généralement confrontées à des problèmes tels que le rejet, les violences ou la séparation au sein du foyer. Ces jeunes filles, qui ont dû quitter l’école en raison de leur situation précaire, se réfugient au centre Beato Thomas. Là-bas, elles profitent d’un cadre sécurisant et d’une éducation de haut niveau.
Grâce au parrainage, ces familles, qui n’ont pas les moyens de financer les études de leurs enfants, reçoivent un soutien financier pour couvrir les frais scolaires, le matériel nécessaire et les besoins quotidiens. Cela permet aux jeunes filles de reprendre leur scolarité, de se reconstruire et d’espérer un avenir meilleur, tout en ayant la possibilité d’aider leurs familles à sortir de la pauvreté.
Le programme de Beato Thomas est dirigé par Sœur Flor, la mère supérieure. Elle possède un diplôme d’infirmière et de travailleur social, ce qui permet au centre d’être certifié par le Département du Bien-Être Social et du Développement (Department of Social Welfare and Development).
Sœur Flor collabore avec Sœur Nelma, constituant ensemble une équipe à la tête du programme. Néanmoins, Sœur Flor demeure le principal contact et est en charge de la logistique du programme, de l’embauche des nouveaux protégés, ainsi que de la surveillance éducative, pédagogique et sociale des jeunes.
Le parrainage est un don mensuel de 28€ (7€ après déduction fiscale) attribué à un enfant en particulier pour l’aider à aller à l’école.
Le programme Enfants du Mékong de Kasingan accompagne des jeunes issus de familles défavorisées en leur offrant un accès à une éducation de qualité grâce au parrainage. Dirigé par Father Ricardo Boron, il assure un soutien financier pour les frais scolaires ainsi qu’un accompagnement personnel afin de les aider à s’épanouir et à bâtir un avenir meilleur.
Le programme Beato Thomas soutient les jeunes filles de Bogo, situées sur l’île de Cebu, provenant de familles défavorisées et fréquemment exposées à la violence ou aux abus. Ces jeunes filles qui ont dû abandonner l’école trouvent un refuge au centre Beato Thomas, un lieu où elles peuvent poursuivre leur éducation dans un environnement sûr. Sous la conduite de Soeur Flor, ce programme leur fournit une éducation de haut niveau et un accompagnement pour les soutenir dans leur reconstruction et leur permettre d’aspirer à un avenir prometteur.
Le programme de Laura Squat à Manille soutient plus de 80 enfants provenant de familles défavorisées en leur procurant une éducation et un suivi. Ce programme, initié par le père Daniel et dirigé par Kuya Michael, bénéficie de l’appui de bénévoles anciens élèves. Il donne aux enfants la possibilité d’échapper à la pauvreté par le biais du système de parrainage.
Pasay City est un véritable un hub de transport touristique pour d’autres îles. Aussi, de nombreuses familles des bidonvilles gagnent leur vie en assistant les passagers ou en vendant des goûters, repas ou divers produits.
Parmi les enfants abandonnés dans les rues de Manille, certains ont un handicap mental qui les rend encore plus vulnérables. La majorité d’entre eux est tout simplement parquée dans des prisons pour enfants sans aucune structure de suivi qui leur soit adaptée.
