Les familles aidées à Duc Hanh sont parmi les plus pauvres de la province. Parents journaliers dans les plantations d’hévéas pour le latex ou d’anacardiers pour les noix de cajou, maçons ou pêcheurs, ils gagnent en moyenne l’équivalent de 200 euros par mois. Ils ont souvent de nombreux enfants qu’ils élèvent dans des maisons construites en bambou ou en bois.
Malgré un niveau de vie en amélioration dans certaines régions, un grand nombre de familles appartenant à des minorités ethniques restent coincées dans une profonde pauvreté. On rencontre souvent des parents démunis de terres et de bétail, qui cumulent divers emplois précaires pour subsister. Le travail quotidien est la norme, ce qui rend les gains financiers instables et imprévisibles.
L’objectif du programme est de rompre ce cycle de manière négative. En prenant en charge les frais de scolarité, l’achat de fournitures et la satisfaction des besoins fondamentaux des enfants, il diminue la pression financière sur les familles et les incite à privilégier l’éducation de leurs enfants plutôt que de les envoyer travailler.
Je parraine un enfant de Duc Hanh