116 €/mois sur un objectif de 313 €/mois
Dans les montagnes du nord des Philippines, ils sont nombreux à grandir dans des environnements marqués par la violence, la pauvreté et l’abandon. C’est pour ces garçons que le programme Halfway Home for Boys a vu le jour en 2011.
Ce centre reçoit des enfants de 7 à 17 ans, fortement affectés par des traumatismes. Le centre, composé de travailleurs sociaux, d’éducateurs et de psychologues, propose un environnement stable, un soutien empathique et une voie vers la résilience.
Protégés, hébergés, soignés, éduqués et peu à peu réinsérés, ces enfants retrouvent confiance, découvrent leurs capacités, et réapprennent à rêver. Certains restent quelques mois, d’autres jusqu’à l’université.
Avec le soutien d’Enfants du Mékong, le centre peut assurer la scolarité et les activités éducatives de ces jeunes, leur offrant ainsi une véritable seconde chance.
Responsable du programme du Halfway Home for Boys, M. Eric Pinmangen consacre depuis plus de dix ans sa vie à l’accueil et à l’accompagnement des enfants en détresse. Formé au travail social, il a d’abord été travailleur social sur le terrain, avant de prendre la direction du centre.
En tant que dirigeant dévoué et figure rassurante, il s’implique activement dans la gestion du centre, partageant le quotidien des jeunes qu’il aide avec soin. Sa connaissance approfondie, sa vigilance et son dévouement font de lui un membre essentiel du programme, très apprécié tant par les enfants que par l’équipe pédagogique.
Peu importe la somme, votre soutien apporte un changement significatif. Cela permet de couvrir des dépenses essentielles comme les fournitures scolaires, les livres ou encore les coûts de déplacement. Il peut aussi être utilisé pour fournir des aides alimentaires, des médicaments aux familles les plus démunies, ou encore pour assister d’autres enfants non soutenus mais faisant face à des circonstances difficiles.
Pour garantir une utilisation responsable et équitable des fonds, des réunions régulières avec les familles sont organisées. Ces rencontres permettent de suivre la scolarité des enfants, de leur remettre les fournitures nécessaires et de rembourser les projets éducatifs engagés. Dans la mesure du possible, le parrainage est remis en nature (fournitures, denrées, services) afin d’assurer un bon usage du budget. Si une assistance financière est distribuée en liquide, un justificatif devra être présenté lors de la prochaine réunion.
Ce programme, en plus de fournir une assistance matérielle, aspire également à un changement significatif : l’engagement des pères dans la vie familiale. Leur présence est vitale, même s’ils sont fréquemment absents.
Le programme Enfants du Mékong de Kasingan accompagne des jeunes issus de familles défavorisées en leur offrant un accès à une éducation de qualité grâce au parrainage. Dirigé par Father Ricardo Boron, il assure un soutien financier pour les frais scolaires ainsi qu’un accompagnement personnel afin de les aider à s’épanouir et à bâtir un avenir meilleur.
Le programme Halfway Home for Boys, soutenu par Enfants du Mékong, offre un refuge stable, éducatif et bienveillant à des garçons philippins victimes de violences, d’abandon ou de grande pauvreté. Sous la direction de M. Eric Pinmangen, ce centre assure un accompagnement global vers la résilience, grâce à un personnel engagé et au soutien flexible de parrains solidaires.
Dans le baranguay de Santa Lucia à Pasig, de nombreuses familles vivent dans une grande précarité, avec des revenus très faibles, des logements insalubres et un accès limité à l’eau, à l’électricité et à l’éducation. Face à ces difficultés, l’école Makabata, dirigée par les sœurs SSVM, accueille gratuitement les enfants les plus pauvres et cherche à répondre à leurs besoins fondamentaux grâce à la solidarité et aux parrainages.
Le centre de Santa Rita, pour lequel nous cherchons des parrainages, offre refuge à des enfants qui ont des histoires familiales difficiles, marquées par l’abandon, la violence, les abus, etc.
Parmi les enfants abandonnés dans les rues de Manille, certains ont un handicap mental qui les rend encore plus vulnérables. La majorité d’entre eux est tout simplement parquée dans des prisons pour enfants sans aucune structure de suivi qui leur soit adaptée.
