Diane : Je parraine depuis 2 ans environ et en tant qu’institutrice, je suis vraiment sensible à l’éducation des enfants issus de villages reculés, camps de réfugiés ou encore de bidonvilles. Comme le soulignait Mandela, « l’éducation n’est-elle pas l’arme la plus puissante pour changer le monde ? »
Guillaume : Je suis tombé dans la marmite du parrainage quand j’étais petit, car mes parents parrainaient déjà. Depuis près de 12 ans, je soutiens l’éducation de Thanh qui vit au Vietnam. C’est peu d’effort pour moi, et j’ai la conviction que l’impact est considérable pour Thanh, qui ne saurait sans doute ni lire ni écrire sans cette aide.iane,
Avec Diane, nous parrainons 3 enfants, en Birmanie, au Vietnam et aux Philippines. C’est un projet génial, qui n’est pas très chronophage et dont on voit le fruit dans le temps. Grâce à la déduction fiscale, cela nous coute que 18€ par mois pour les 3 parrainages. On donne un espoir à 3 enfants et ca nous coute que l’équivalent d’un repas pour deux au Macdo… un truc de dingue !!