Parrainer les jeunes de Wangsaphung dans l’Issan
A Wangsaphung, dans l’Issan (nord-est de la Thaïlande), nous accompagnons les jeunes les plus démunis sur le chemin de l’école !
Enfants parrainés : 33 sur 42
La Thaïlande est l’un des pays les plus développé d’Asie du Sud-Est. Pour autant, certaines minorités ethniques (Karen, Lahu, Lawa, Hmong) ainsi que certaines régions rurales souffrent d’un manque d’instruction et d’un manque d’intégration à la société thaïlandaise.
L’exode rural vers la capitale, Bangkok, est également un problème. De nombreux parents quittent les campagnes pour un hypothétique travail dans les grandes villes, laissant leurs enfants aux grands-parents.
Enfin, l’attrait de la situation économique du pays génère une forte immigration, amplifiée par la guerre qui sévit en Birmanie. De nombreux réfugiés économiques et politiques arrivent en Thaïlande pour une durée incertaine et les enfants doivent poursuivre leur scolarité malgré tout
L’aide apportée en Thaïlande est principalement orientée vers
Des projets ponctuels (construction et rénovation d’écoles) permettent d’améliorer l’environnement et les conditions de vie et d’études des filleuls.
L’ONG soutient également les populations fragiles notamment dans les bidonvilles de Bangkok.
A Wangsaphung, dans l’Issan (nord-est de la Thaïlande), nous accompagnons les jeunes les plus démunis sur le chemin de l’école !
Enfants parrainés : 33 sur 42
À 48 km de Maesot, les Xaveriens ont constaté le manque d’opportunités éducatives pour les enfants les plus démunis du village.
Enfants parrainés : 19 sur 21
À Ranong, les parents des familles aidées sont travailleurs journaliers dans la pêche ou sur les chantiers de construction, et n’ont pas de quoi offrir un bel avenir à leurs enfants.
Enfants parrainés : 6 sur 7
5 482 € sur un objectif de 11 473 €
Dans les quartiers populaires de la ville de Phuket, à proximité du port de pêche, une femme se bat depuis plus d’une décennie pour donner une place à une minorité discriminée : les migrants birmans.
En Thaïlande, la nouvelle politique antimigratoire a jeté le trouble sur la zone frontalière avec la Birmanie. Là où les échanges étaient courants et
acceptés de tous, la guerre civile a rebattu les cartes. Face à l’horreur des persécutions et des bombardements côté birman, la vie cède la place à la survie.
Décryptage avec le docteur en Sciences politique Arnaud Leveau, spécialiste des relations internationales en Asie, membre du comité d’orientation de l’Asia Centre et enseignant à l’université Paris-Dauphine.
Kru Man est professeur d’anglais et responsable des 14 filleuls de l’école karen Ban Maelid, dans les montagnes au nord de la Thaïlande.
Au nord de la Thaïlande, les trafics ont repris de l’ampleur et ciblent en priorité les plus vulnérables : les mineurs réfugiés isolés et les […]
Enfants du Mékong commence son action en Thaïlande avec l’ouverture dans le pays des camps de réfugiés pour les Laotiens, les Cambodgiens et les Vietnamiens. Son action a commencé dans l’Issan, la région la plus pauvre à l’Est, et dans les bidonvilles de Bangkok.
Enfants du Mékong a ensuite été appelé à soutenir l’éducation des enfants des ethnies isolées dans les montagnes de la frontière birmane.
Après le tsunami, l’association a ouvert des programmes dans le Sud du pays.