Dans les faubourgs de Phnom Penh
À quelques kilomètres de la capitale cambodgienne, les bidonvilles grossissent. Sous la tôle, les enfants. Premières victimes de la pauvreté, ils luttent pour poursuivre […]
Enfants parrainés : 36 sur 37
Encore très rural, le Cambodge doit faire face à de fortes disparités, la croissance économique profitant principalement aux populations urbaines. L’éducation des campagnes est donc un enjeu majeur pour limiter l’exode rural et pour fournir du travail aux paysans dont l’emploi est de plus en plus menacé par la mécanisation de l’agriculture. Depuis 2005, de nombreux programmes de parrainages ont été ouverts avec des responsables locaux, ce qui permet de toucher des familles en difficulté dans les zones reculées. Enfants du Mékong gère directement ces programmes ou en partenariat avec des structures locales (Buddhism for development, Missions étrangères de Paris…).
Les volontaires Bambous sont chargés du suivi scolaire et familial des filleuls. Ils travaillent avec une soixantaine de salariés cambodgiens et environ 80 professeurs khmers sous l’autorité d’un directeur Cambodge basé à Sisophon. En 1993, Enfants du Mékong a successivement ouvert au Cambodge 4 centres de soutien scolaire (dotés de foyers d’accueil) principalement pour faire face à l’abandon scolaire qui sévit près de la frontière avec la Thaïlande.
À Phnom Penh, le centre Docteur Christophe Mérieux forme des étudiants en vue de leur entrée sur le marché du travail et leur propose une formation intégrale complémentaire pour se construire, s’ouvrir au monde et s’impliquer dans la société. Les jeunes que nous soutenons peuvent être, demain, des modèles de responsabilités pour leur pays et prendre la suite de notre action.
Enfants du Mékong agit aussi en partenariat avec de nombreuses structures partenaires (Salabai, CKN, Don Bosco,…) et entreprises locales pour développer l’orientation des jeunes et leur insertion dans la société.
En marge de nos programmes de parrainages, Enfants du Mékong favorise l’accès à la scolarisation par la construction ou la rénovation d’écoles dans les villages.
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À quelques kilomètres de la capitale cambodgienne, les bidonvilles grossissent. Sous la tôle, les enfants. Premières victimes de la pauvreté, ils luttent pour poursuivre […]
Enfants parrainés : 36 sur 37
Le district de Banteay Meas est situé à l’extrême Sud-Est du Cambodge, une région longtemps oubliée par les autorités cambodgiennes tant le lieu est […]
Enfants parrainés : 39 sur 40
2 600 € sur un objectif de 7 669 €
84 623 € sur un objectif de 108 099 €
10 € sur un objectif de 189 496 €
17 827 € sur un objectif de 35 294 €
30 140 € sur un objectif de 217 264 €
20 287 € sur un objectif de 56 696 €
88 334 € sur un objectif de 300 226 €
Cantonnée dans l’enceinte du palais royal, la danse classique cambodgienne fut, des siècles durant, un art sacré et secret, réservé au roi et à sa cour. En 1906, un voyage historique en France révèle ce spectacle millénaire au grand public.
Formatrice du programme Karol et Setha sur l’affectivité et la connaissance de soi-même, Nav Pavy tente de venir en aide à une jeunesse cambodgienne en perte de repères.
Dans un roman graphique sobre et parfaitement documenté, Vicky Lyfoung nous entraîne dans les recoins de l’Histoire, à la découverte du peuple hmong, de ses combats et d’une famille : la sienne.
L’industrialisation et le développement du Cambodge poussent des centaines de familles à quitter leurs villages et leurs provinces pour trouver du travail. S’amassant dans les quartiers pauvres de la capitale, leur rêve d’une vie meilleure vire souvent au cauchemar
« Nous parrainons Srey Yi depuis 3 ans. Au travers des courriers que nous échangeons, nous avons tissé un lien fort avec cette jeune fille. Elle exprime souvent sa volonté de se surpasser, de réussir et de ne pas nous décevoir. »
Enfants du Mékong commence par soutenir des réfugiés cambodgiens dans les camps thaïlandais.
Enfants du Mékong commence à agir au Cambodge.
Enfants du Mékong ouvre successivement 4 centres de soutien scolaire, dotés de foyers d’accueil, principalement pour faire face à l’abandon scolaire qui sévit près de la frontière avec la Thaïlande.
Un foyer voit le jour à Phnom Penh pour permettre à des centaines d’étudiants de poursuivre des études supérieures.
Ouverture de nombreux programmes avec des responsables locaux, ce qui permet de toucher des familles en difficulté dans les zones reculées.
Le foyer de Phnom Penh devient le centre Docteur Christophe Mérieux et propose une formation intégrale pour constituer des élites.